Dès 13 ans, Simon Perrin a ce besoin d’expression puissant, tenace, qui l’agite et l’anime. Il a ce désir de laisser son empreinte, sa marque, une trace dans ce monde.

Il part en quête de lieux abandonnés, de terrains délaissés, de zones vierges pour s’exprimer, et laisser sa signature.
A 34 ans, apaisé, concentré, minutieux et précis dans son travail de tapissier/designer, il continue à exprimer son engagement et ses idées dans son atelier.
Pourquoi peindre ? Pour continuer à laisser sa marque, mais avec l’envie, cette fois, que cela dure, de passer du « sauvage éphémère », au « durable à partager ».
Parce que Simon a beaucoup à dire, et que ses mots sont ses outils, ses pensées sont ses couleurs, ses contradictions sont ses contrastes.
Ces derniers travaux incarnent cette dualité et ce rapport conflictuel entre la nature et l’homme. Entre abstraction et réalisme, son trait met en avant la fragilité de la nature face à l’écrasante négligence de l’humain.
A 34 ans Simon est un artiste engagé, sensible et authentique qui part toujours à la recherche de matériaux, de supports, de peinture qu’il trouve sur son chemin pour transformer, sublimer, et continuer de raconter sa propre transformation.